Banjologie

J’ai commencé à jouer du banjo pour participer aux ”seisiùns”, jam sessions irlandaises.
Lors d’un voyage en Afrique, j’ai rencontré un musicien qui jouait d’un luth à résonateur en calebasse dont les similitudes avec le banjo m’ont inspiré des recherches sur les origines de l’instrument. J’ai découvert qu’il était le produit de l’émulation entre musiciens africains, écossais et irlandais des montagnes du sud-est des Etats-Unis.
Mes spectacles jeune public (Banza Banjo) visaient à illustrer et transmettre cette histoire singulière. 


Banjologie propose maintenant un programme de compositions et adaptations originales jouées sur trois instruments fabriqués pour moi par des amis luthiers, l’occasion d’une relecture intime de mémoires musicales venues de trois continents.

Une chanson irlandaise accompagnée sur mon banjo tenor Weymann fabriqué en 1923.

Vidéo : Philippe Devilliers

• Ousseïni, morceau appris d'Ousseïni Chipkaou du groupe Mamar Kassey (Niger).

• Leïla, chanson composée pour une amie nigérienne rencontrée à Cotonou.

• Voodoo girl, composé autour d'un riff entre Afrique et Blues.

  Joués sur le banjo 5 cordes électrique fabriqué pour moi par Clovis Cruchet

Une chanson des Appalaches accompagnée sur le banjo 5 cordes électrique fabriqué pour moi par Clovis Cruchet.

Composé sur mon Gourd banjo fabriqué par Jeff Menzies.

A Cotonou (Bénin) pour jouer ” Banza Banjo”, mon spectacle sur l'histoire du banjo, j'ai été frappé par l'énergie que dégageaient la ville et ses habitants.

”Run for it” est un modeste hommage à cette ville et ses classes laborieuses.